Tentative d’attentat : Franck Dalibard touché à la tête par une cacahuète

Franck Dalibard a échappé de justesse à une tentative d'assassinat samedi lors d'un meeting. Le tireur de cacahuète est toujours en fuite et activement recherché.


Victime d’une tentative d’attentat, le conseiller municipal thononais Franck Dalibard a été touché à la tête par une cacahuète lors de son apéro consultatif et participatif mensuel, provoquant un vent de stupeur dans la capitale du Chablais. Le fervent défenseur des fruits (mais pas à coque) a échappé de justesse au pire et les forces de l’ordre sont actuellement à la recherche de l’assaillant, un militant farouchement opposé aux confitures.

Attentat déjoué

L’incident s’est produit lors d’un discours de Franck Dalibard, qui plaidait pour une augmentation des quotas de producteurs locaux dans les snacks apéritifs distribués lors des événements municipaux. Soudain, l’assaillant a surgi de la foule, brandissant une poignée de cacahuètes. Selon des témoins oculaires, il aurait crié : “Mort aux groseilles ! Vive les amandes !”, avant de lancer les arachides en direction de l’élu.

Heureusement, grâce à des réflexes dignes d’un joueur de ping-pong, le conseiller municipal a esquivé les projectiles. “J’ai vu ma vie défiler devant mes yeux”, a-t-il déclaré plus tard. “Mais je me suis souvenu de mes entraînements intensifs de jonglage au collège. C’est ce qui m’a sauvé.

L’élu, qui est également entrepreneur, a néanmoins été blessé à l’oreille mais s’est immédiatement relevé en brandissant ses petits poings victorieux.

L’assaillant a rapidement pris la fuite après son geste, laissant derrière lui un sac de fruits à coque divers. La police a lancé un avis de recherche et appelle à la vigilance des citoyens. “Nous faisons tout notre possible pour retrouver cet individu avant qu’il ne commette un nouvel acte de ce genre”, a déclaré un porte-parole des forces de l’ordre, alors que le Parquet antiterroriste était sur le point de se saisir de l’affaire. Les autorités ont intensifié les patrouilles et examinent les vidéos des 732 caméras de surveillance présentes sur la zone pour retrouver sa trace.

Les réactions à cet attentat manqué ne se sont pas faites attendre. Les défenseurs des cacahuètes se sont immédiatement mobilisés. “Nous ne céderons pas à la peur”, a clamé un porte-parole du mouvement “Cacahuètes Libres”. “Les cacahuètes ont toujours été et seront toujours une partie intégrante de nos apéros, aux côtés des diots, du reblochon et de mon bilan municipal”, a par ailleurs déclaré Astrid Baud-Roche, ancienne adjointe à la mairie de Thonon.

Dans un geste de solidarité, d’autres personnalités ont exprimé leur soutien à Franck Dalibard en publiant des photos d’eux-mêmes avec des cacahuètes sur les réseaux sociaux, sous le hashtag #JeSuisCacahuète.

Franck Dalibard, quant à lui, a promis de ne pas se laisser intimider : “Nous continuerons à nous battre pour que chaque cacahuète ait sa place dans notre société. Les arachides sont un symbole de convivialité et de partage. Et personne ne pourra nous enlever cela, mais quand même, les confitures de fruits c’est mieux”.

L’affaire semble augmenter la cote de popularité du conseiller d’opposition de 2 points, la portant donc à 2%, ce qui pourrait dangereusement doper sa campagne pour l’élection municipale de 2026.

Pour l’instant, Franck Dalibard peut savourer sa victoire sur l’adversité, en attendant son prochain discours, où il abordera des sujets tout aussi épineux, tels que la diversité des chips et l’intégration des olives dans les assiettes de tapas après les conseils municipaux.

Victor Segma, sur une idée de DL

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